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Toutes les fautes n’ont pas le même poids.
Les fautes de frappe peuvent ne pas être perçues de manière négative, associées à une notion d’urgence, mais d’autres fautes coûtent cher lorsqu’elles concernent la conjugaison, les accords, la sémantique (fautes de sens), les homophones.
Les difficultés traitées par le Projet Voltaire concernent la grammaire à plus de 50 % : conjugaison, accords,etc. 20 % seulement des difficultés concernent les fautes lexicales (ou fautes d’usage).
Ce choix est fait car les correcteurs orthographiques sont d’une grande efficacité sur ces points. Aucun vocabulaire érudit n’est utilisé dans les exercices du Projet Voltaire.
Les apprenants n’ont pas le désir de consacrer beaucoup de temps à l’orthographe, il faut donc aller vite, aller à l’essentiel. Un diagnostic initial sur chaque niveau élimine d’emblée toutes les difficultés sur lesquelles l’apprenant ne possède aucune lacune particulière.
des salariés sont des rédacteurs quotidiens de courrier électronique et de documents
des ventes sur les sites d’e-commerce sont ratées à cause des fautes d’orthographe
Le projet Voltaire calcule un parcours personnalisé et adapté
L’apprenant n’est pas livré à lui-même.
L’évocation de l’orthographe ne rappelle pas toujours d’excellents souvenirs. Les règles font a priori un peu peur. L’impuissance à en maîtriser un certain nombre a laissé un souvenir amer.
Partant de ce constat, laisser l’apprenant face à une batterie d’exercices en lui laissant la responsabilité de choisir, c’est ne pas répondre à son problème. L’apprenant a besoin d’être pris par la main. Il faut le guider, lui proposer un parcours qui lui est propre. Il n’a pas à naviguer à vue. Lui laisser le choix, ce serait baisser les bras, se déresponsabiliser, afficher une absence totale de méthode.
Tout cela mettrait l’apprenant en situation d’échec.
L’apprenant travaille sur ses lacunes et à son rythme
Le Projet Voltaire prend l’apprenant par la main dans un parcours calculé pour lui et lui seul, en fonction de ses lacunes et de son rythme d’acquisition. La méthode repose sur le moteur d’intelligence artificielle Woonoz primé à de nombreuses reprises.
Outre le diagnostic initial, le moteur Woonoz continue à effectuer un diagnostic permanent du degré d’autonomie de l’apprenant face à chacune des difficultés encore en jeu, et ce durant toute la phase d’entraînement.
Les exercices qui lui sont proposés ne sont ni choisis par l’apprenant, ni tirés au hasard.
Les règles sont expliquées simplement
Le Projet Voltaire a recensé 140 difficultés qui occasionnent des fautes récurrentes dans les échanges professionnels (courrier électronique, rapports…). Elles sont découpées en 10 niveaux ; les niveaux sont classés dans un ordre croissant de difficulté.
Le Projet Voltaire est très loin de la Dictée de Pivot ; il ne vise pas les passionnés d’orthographe. Durant toute la phase d’entraînement (consécutive au diagnostic initial), les difficultés sont expliquées à l’apprenant par un texte de quelques lignes, que peut appuyer une vidéo de 15 ou 20 secondes (si ce mode est activé). L’explication est ciblée. S’il existe un moyen mnémotechnique, il est privilégié.
Afin de ne pas perdre l’apprenant, le discours ne s’appesantit pas sur des considérations grammaticales trop complexes. L’objectif prime : aider l’apprenant à faire face à cette difficulté.
Ristourne sur la TFP
Ristourne sur la TFP
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